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Par l’originalité de son premier album et la singularité de son parcours, Bless se tient à l’écart de toute tentative d’affiliation ou d’amalgame à une quelconque scène, tendance ou génération. Voix de Françoise Hardy lo-fi, au bord de l’évanouissement, mélodies obsédantes, parfois d’une majestueuse lenteur, guitares à l’anglo-saxonne, on est happé par l’univers intimiste de Bless. Elle etait à la Contrescarpe.
Bless - Festival Bars en Trans 2006 - Credit Photos Erwan Louyer
Par l’originalité de son premier album et la singularité de son parcours, Bless se tient à l’écart de toute tentative d’affiliation ou d’amalgame à une quelconque scène, tendance ou génération. Voix de Françoise Hardy lo-fi, au bord de l’évanouissement, mélodies obsédantes, parfois d’une majestueuse lenteur, guitares à l’anglo-saxonne, on est happé par l’univers intimiste de Bless. Elle etait à la Contrescarpe.